A lire dans le dernier numéro du Monde diplomatique de février 2017 (page 16) en vente chez les marchands de journaux depuis hier, mercredi 1er février.
Par Olivier Cachard
Alors que la société industrielle générait des nuisances perceptibles à l'odorat ou à la vue, la pollution électromagnétique de la société de l'information est invisible et inodore. Pourtant, on ne peut négliger les effets de l'usage massif tant des moyens de télécommunications - en particulier le téléphone portable - que des infrastructures et des équipements électriques.